Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
COMBAT D'UNE VIE
COMBAT D'UNE VIE
Publicité
Archives
2 avril 2019

DESTRUCTION DE MON BEAU-PÈRE PAR MA MÈRE

Ma mère a connu mon Bop's, juste après s'être fait virée de chez mon père.

Vu la rapidité où il a fait partie de notre vie, je soupçonne ma mère de l'avoir connu, avant.

 

Comme c'est une prédatrice, elle l'a choisi pour sa personnalité.

Quand elle l'a rencontré, il avait 19 ans et elle, 30 ans.

Dès le départ, il a participé activement financièrement. A vrai dire, c'est ma mère qui gérait les comptes.

Comme ont s'est retrouvé dans une maison vide de tout.

 

Pour mettre une ceinture à tout le monde, sauf à elle, elle a prétexté des dettes, à cause de mon père

Il m'aura encore fallu patienter 42 ans, pour savoir que c'était un mensonge.

En effet, lors d'une conversation téléphonique, ma mère s'est vantée d'avoir connu un percepteur qui avait mon père dans son viseur, et toutes les dettes sont retournées à l’expéditeur.

Ma mère faisait des économies sur le compte de tout le monde.

 

Quand elle l'a connu, elle a du remarquer son goût pour l'alcool. Elle en a joué et elle l'a rendu alcoolique. Pour comprendre, il faut connaître la personnalité de mon Bop's.

Je n'ai pas l'habitude de rendre un tiers responsable, mais dans le cas de mon Bop's, oui !

Aussi loin que je me souvienne, mon Bop's était alcoolique

Connaissant ma mère, elle ne se serait jamais mis avec un homme alcoolique, il y avait donc une motivation, derrière.

Pour comprendre, il faut aussi connaître le passif de mon père, avec elle.

Mon père était humiliant, cassant et lui a rendu la vie difficile.

Elle a probablement voulu se venger, en prenant un homme à la personnalité opposée.

 

Ma mère était anti alcool à 200% et quand on souhaite que son compagnon arrête, on ne veille pas à acheter 16 bouteilles de vin par semaine, et on ne s'arrange pas pour que le bar soit toujours plein.

Elle débouchait même les bouteilles.

A table, mon bop's buvait, ma mère surveillait la bouteille et quand il avait fini, elle l'humiliait en lui disant : « T'as déjà tout bu ? » et l'abattage partait

Ma mère faisait surtout des scènes, en fin de mois, quand elle faisait les comptes. Je voyais mon Bop's complètement liquéfié, limite à genoux. Il devait justifier de tout.

 

En faisant sombrer mon Bop's dans l'alcool, elle s'assurait de pouvoir l'humilier, le rabaisser, le dégrader,sans se sentir responsable.

Avec ce jeu là, mon Bop's se sentait coupable et culpabilisait énormément.

Le point principal de la perversion narcissique, c'est d'asservir et de détruire la personne.

 

Ma mère l'a entraîné, dans une spirale infernale.

Humilié et rabaissé en permanence, mon Bop's culpabilisait. et ça entretenait le phénomène de l'alcoolisme. La boucle était bouclée.

 

La première chose qu'elle a fait quand elle l'a connu a été de lui prendre son salaire.

Ma mère sera vraiment tombée sur un homme charmant, gentil, dévoué, à qui on avait strictement rien à reprocher.

Ma mère lui aura trouvé un motif, pour l'asservir complètement.

Ma mère dépensait beaucoup pour elle, mais rien pour mon Bop's et moi, qui avions le strict minimum.

Mon frère, elle l'a renvoyé chez notre père, sachant pertinemment qu'il serait maltraité.

Comme il était à problèmes, elle a vite trouvé la solution.

Elle se vantait de ne pas demander de pension alimentaire, qu'elle assumait (question de fierté), mais la réalité est que chacun des parents avait un enfant.

Pour mon frère, elle m'a toujours dit qu'elle n'avait pas eu le choix. Quand on a la garde officielle de ses deux enfants, on a toujours le choix. Bref ! Ce n'est pas le sujet principal.

 

Quand ma mère a voulu un enfant, elle a fait du chantage au Bop's.

C'était à condition qu'il arrête de fumer. En aucun cas, elle lui a demandé d'arrêter de boire. Étonnant, quand même...

Il était tellement amoureux qu'il a arrêté de fumer. En revanche, elle se fichait d'avoir un futur père alcoolique. Mon Bop's avait beaucoup de volonté et si elle lui avait demandé d'arrêter de boire, il l'aurait fait.

Mais, ça n'arrangeait pas trop ma mère qui s'est servi de son alcoolisme, pour sévir.

Elle est allée se victimiser chez les parents de mon Bop's et les a retourné contre lui.

Quand mon demi-frère est né et a grandit, pareil. Elle s'est servi de lui, contre mon Bop's

Quand il était petit, ma mère le mettait dans le lit conjugal, obligeant mon Bop's a se lever.

Quand il a grandit, mon Bop's n'avait le droit de ne rien dire. L'enfant avait toujours raison.

A force de reproches, il a fini par s'écarter et là ma mère disait au petit : « Laisse ton père, il ne veut pas s'occuper de toi »

Elle a aussi retourné son enfant contre son père, en pointant du doigt, son alcoolisme.

A aucun moment elle n'a demandé à mon Bop's de se faire soigner.

Elle préférait faire couler l'alcool à flot, pour avoir le privilège de créer des disputes.

Quand on veut que son compagnon se soigne, on achète pas 16 bouteilles de vin, par semaine.

On ne s'assure pas non plus que le bar soit toujours plein.

 

A la maison, c'est ma mère qui gérait et décidait de tout.

Mon Bop's n'est jamais allé dans un magasin, pour s'acheter des vêtements. C'est ma mère qui choisissait tout. Mon Bop's était toujours habillé pareil et avait le minimum syndical, alors qu'il travaillait.

Ma mère était économe et c'était la reine de la « foir'fouille »

Elle achetait beaucoup de fringues, pour elle. Moi, elle m'en ramenait un peu mais à partir d'un certain âge, je récupérais ce qu'elle ne voulait plus.

J'ai choisi ma première fringue à 15 ans.

 

Mon pauvre Bop's n'avait pas non plus son mot à dire. A la maison, c'était un homme très effacé.

Chaque fois que ma mère faisait les comptes et qu'elle remarquait que mon Bop's avait été boire un pot avec ses collègues de bureau, il avait le droit à un tsunami de reproches, d'humiliations et rabaissements. Mon père était comme un petit enfant honteux, à tenter de se justifier. Je l'ai même vu pleurer, pauvre homme.

Quand ma mère l'humiliait, elle hurlait et prenait son ton sarcastique. Après l'avoir bien démoli, elle continuait, sans une once de culpabilité, ses tâches ménagères.

 

Ma mère était hautaine et fière de sa petite beauté. Elle aurait pu se marier avec son miroir, qu'elle l'aurait fait. Il faut bien avouer que c'était une belle femme, d'une fausse sympathie et d'une froideur, qu'on explique mal.

Quand on était invité chez des amis, pour les fêtes, ma mère fliquait mon Bop's et contrôlait sa consommation d'alcool.

Un jour, en pleine réception, elle s'est écrié que le premier qui se faisait péter son permis, à cause de l'alcool, elle ferait tout ce qui en son pouvoir, pour le démolir. Il y a eu un moment de silence.

Les amis, c'était surtout ceux de mon Bop's. Ma mère n'était que la mégère, la pièce rapportée.

Tout le monde avait remarqué qu'elle fliquait le Bop's. Il était même obligé de se cacher, pour fumer une cigarette.

 

Un jour, alors qu'on était invité pour Noël, ma mère a fait un scandale, avant le départ.

Elle s'est écrié qu'elle allait encore devoir ramener la voiture et pour le punir, elle a prétexté mes problèmes de jambes, pour qu'il aille s’asseoir derrière, dans la voiture.

Me rendant compte du phénomène, j'ai refusé et je suis allée m'installer derrière.

 

A une fête, j'ai vu mon Bop's complètement dévasté. Il était assis dehors et pleurait.

Je lui ai demandé pourquoi il restait avec une femme pareille ?

Il m'a seulement répondu qu'il l'aimait et l'avait dans la peau.

 

En 2012, mon Bop's a touché un héritage.

Ma mère qui avait juré de ne jamais se remarier et le criait haut est fort, s'est mariée précipitamment.

Pour justifier de son souhait, elle m'a dit que c'était pour protéger le Bop's car mon grand frère pourrait le virer de la maison, si ma mère venait à mourir. Chose complètement impossible, vu la configuration de la famille.

Elle s'est mariée, en haillons, après 38 ans de vie commune. J'aurai été le maire, je lui aurai dit d'aller mettre une tenue un peu plus convenable.

Elle s'est mariée, pour l’héritage. Elle a mis main basse, dessus.

 

Elle a toujours programmé la mort du Bop's, avant elle. Elle l'évoquait souvent et n'a prévu que pour sa fin de vie, au passage. Pourtant le Bop's à 10 ans de moins qu'elle, mais vu comment elle le détruit.

Elle est retraité et se voit déjà vivre, sans lui.

 

Quand il a reçu son héritage, mon Bop's a souhaité réaliser son unique rêve : acheter un 4x4

Elle lui a fait une scène pas possible, mais il n'a pas cédé.

Chaque fois qu'elle devait monter dedans, elle le criblait de reproches. Une tyrannique...

 

En 2017, elle a fait un coup fumant. Elle a appris quelques années avant que sa maison de campagne ne valait plus grand chose.

Elle avait un immense jardin et se lamentait sans cesse que quand le Bop's décéderait, elle ne pourrait s'occuper seule, de ce jardin.

Cette maison de campagne, mon Bop's ne voulait pas la vendre. C'est la seule chose qu'il n'a pas cédé, à ma mère.

Ma mère a profité d'un événement très douloureux, pour moi.

Elle s'est alcoolisée, jusqu'à sombrer dans un coma éthylique. Elle a été hospitalisée une journée.

Elle a fait tellement peur au Bop's et probablement fait du chantage au suicide, celui-ci a cédé, pour la vente de la maison.

Ma mère a réalisé un exploit. Elle a vendu sa maison en deux mois et s'est achetée la maison de ses rêves, proche de son fils et avec un petit jardin.

Elle a revendu le 4x4 de mon Bop's et l'a isolé, dans cette nouvelle campagne.

A présent, mon père n'est plus que l'ombre de lui même, il picole toujours, il est au service total de la mégère qui le contrôle à 200%

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité